Pauvre poulet. Parqué dans des cages, nourri avec un peu n'importe quoi, qui donne comme résultat une chair insipide et molle. J'oublie volontiers les plats pré fabriqués à base de résidus de poulet.
Le poulet est la viande la plus consommée au monde. Ne pas bouger, manger, ne pas trainer, sinon les coûts de production s'envole.
Essayer le poulet fermier, avec un label ou une AOP, ou de volailles achetées directement chez les petits producteurs. Vous aurez alors une aliment avec du goût et non plus un vague support à sauce reconstitué.
Le classique du mezzé libanais, des petites brochettes de blancs de poulet, marinés dans du citron et les épices classiques du moyen orient. C'est frais et parfumé.
Pour enchanter vos barbecues, une recette diététique sans sel, mais pleine de goût.
Un grand classique de la gastronomie alsacienne, un coq cuit au vin blanc d'Alsace, additionné d’œufs et de crème au moment du service. L'accompagnement idéal ce sont des nouilles alsaciennes ou des spaetzles. Et bien entendu un verre de Riesling.
S'il vous reste pas mal de poulet rôti, plutôt qu'un bête poulet mayo, cette recette permet de réaliser des petites galettes de poulet rendues croustillantes par la chapelure.
Un classique de la cuisine vietnamienne, revisité pour en faire une préparation simple et rapide. À servir avec du riz blanc parfumé.
C'est une recette assez célèbre de poulet à la moutarde, gratiné au four. Elle s'inspire d'une recette traditionnelle, bourguignonne elle aussi, le poulet au fromage, poché au bouillon, puis gratiné.
Curry thaï, lait de coco, poulet et légumes ça permet de réaliser facilement un plat qui, sans être authentique, sera meilleur que la plupart des fausses préparations thaïes.
Une recette d'inspiration chinoise. C'est assez diététique, le poulet mariné avec du gingembre est cuit à la vapeur.
Avril, mai c'est le mois des morilles fraîches. Sinon il y a les morilles sèches qui feront l'affaire. Car il ne faut pas manquer ce plat exceptionnel, emblématique de la cuisine du Jura. À réserver aux amateurs de bonne chère.
Avec un bon poulet fermier, une recette typique du pays basque, avec des poivrons et un peu de piment. Et bien entendu du jambon de Bayonne.
Accompagné d'une garniture Chasseur ou forestière, ce poulet est un grand classique de la cuisine de ménage, simple à souhait.
Poulet, asperges et gorgonzola, c'est un mélange toujours apprécié des amateurs de plat au fromage. On peu l'accompagner de riz pour les gros appétits.
À réserver à ceux qui adorent l'ail, car même si l'odeur d'ail est discrète, ça sent l'ail. Un avantage toutefois, ça éloigne les vampires, on n'est jamais assez prudent.
Le classique des restaurants indiens, faciles à réaliser chez soi, sur un barbecue à charbon. Le choix de mélange Tandori est primordial. Il est parfois très pimenté.
Quelques idées pour recycler les restes de chapon -parfois abondants-, de poularde ou de poulet rôti. Pour les restes de dinde ou de pintade, c'est également possible, mais attention ces viandes sont un peu plus sèches.
Un plat de riz assez copieux que vous pouvez agrémenter, selon votre goût, de coquillages, de crevettes, etc..
Le blanc de poulet est traditionnellement utilisé pour des plats basse calories. L'hiver, vous pouvez l'associer au topinambour, légume peu utilisé, mais plein de ressources.
Faible en calorie, avec un petit goût d'artichaut, le topinambour est excellent pour la santé et une bonne alternative aux pommes de terre.
Souvent redouté dans les concours télévisés, le mélange terre-mer peut faire peur, mais, dans ce cas, les saveurs se complètent très bien et le résultat est absolument délicieux.